Les constats basés sur nos expériences
Les villes et les municipalités
Les villes et les municipalités pourraient être davantage proactives en ce qui a trait à la gestion animalière. Elles se doivent de réfléchir des ententes de services mieux adaptées à la réalité d'aujourd'hui, voir faire instaurer une réforme!
Les animaux
Les animaux méritent d'être en sécurité et d'être respectés par la Loi du bien-être animal B-3.1 qui parfois, manque de suivi et de cohérence pour le cas des chats errants. Aussi, la mise à mort n'est pas une solution au manque de moyens ($) ou pour gérer la surpopulation. L'OPC soutien que la stérilisation, la socialisation et la gestion des colonies, demeure la clé.
Les humains
Les citoyens manquent de connaissances, de ressources et d’aide quand vient le temps de gérer un animal errant ou abandonné. Cela engendre du stress et de la détresse humaine.
Les enfants
Les enfants sont la relève et doivent sans contredit être plus en mesure de réfléchir leur demande en matière d'adoption d'animal de compagnie. Ce sont eux, une fois sensibilisés, qui peuvent devenir les acteurs de changement de demain et faire en sorte que les adoptions soient plus éthiques et durables.
Les refuges
Les refuges éthiques sont formés de bénévoles extraordinaires qui de près ou de loin, s'impliquent sans compter voir parfois au détriment de leur santé morale ou financière. Ces personnes, au profil d'aidant dans la plupart des cas, nécessitent de l'aide et du support pour mener à bien leur mission. Que ce soit au niveau administratif, organisationnel, tout support dans ce milieu difficile et émotif est important et fait la différence.